appel à témoignages

L'Association des Amis du Musée recherche des objets, des souvenirs, des photos, des papiers (lettres), etc... remontant de cette époque.

Si c'est votre cas, nous vous invitons à contacter soit l'office tourisme au 02 99 90 67 98 ou l'Association des Amis du Musée par mail : association.lesamisdumusee@gmail.com.

Commentaires

• #1

  Les Amis du Musée(vendredi, 24 août 2012 19:43)

  La rosace représentée au milieu de l'objet est la même que celle qui figure sur un des meubles en ma possession.
  Louise G. - adhérente à l'Association des Amis du Musée

• #2

  Cédric J.(samedi, 25 août 2012 10:02)

  Cet objet pourrait être un des éléments d'une trémie à farine ou correspondre à un élément de l'armature d'une machine à tisser.
  Cédric J. - marin pêcheur

• #3

  Hervé Dréan(samedi, 25 août 2012 10:54)

  Il me semble me souvenir que cet élément provenait d'un bateau (18e ?)... mais cela doit figurer dans l'inventaire que j'ai fait en 2003.

• #4

  Michel Rio(samedi, 25 août 2012 19:54)

  Cet objet me fait penser par ses dimensions à un joug à boeuf utilisé notamment par les maquignons ou les paysans pour ramener de la foire une paire de boueufs. Ce ne serait pas un joug de travail car il manque au centre la fixation du timon entre autre, mais un joug "d'apparat" pour la foire ou autre concours, d'où la rosace centrale.
  Michel Rio. Enseignant retraité, fils d'agriculteur.

• #5

  Pierre PRAT(jeudi, 30 août 2012 16:04)

  J'invite les Amis du Musée de la Vilaine à se reporter au n°3 de la La lettre de la Vilaine édité en 1988. L'objet ne vient pas de Billiers, mais nous avait été offert par M. Rival de La Roche Bernard, comme provenant de cette commune. J'y ai consacré une dizaine de lignes accompagnées d'un croquis. De mémoire, j'ai dû en faire parvenir une photo à Jean Boudriot, spécialiste du vaisseau de 74 canons (18e). J'avais étudié particulièrement cet objet et la façon dont il pouvait être agencé. Pour moi, l'hypothèse la plus plausible est celle d'un bâti de couchette d'officier de marine. Les deux fentes intermédiaires, arrondies et usées recevaient probablement une courroie ou sangle, laissant supposer que la pièce était suspendue. La présence de petits clous serrés dans la partie centrale indique la fixation d'une toile. Les deux mortaises devaient recevoir les tenons de montants latéraux en bois. Enfin, les traces de peinture vert foncé font également penser à un objet de marine, protégé des intempéries (les pièces de bateaux étaient toujours peintes) et non à un objet rural. Il faudrait donc plutôt chercher de ce côté là, et notamment dans les encyclopédies de marine du 18e. N'oublions pas que plusieurs vaisseaux du 18e ont échoué en Vilaine, et qu'à l'époque, la population n'a pas dû se priver de piller ces bateaux ou troquer certaines pièces avec les marins. L'objet doit figurer dans le premier inventaire que nous avions réalisé (1992/94).
  Pierre PRAT, ancien conservateur et co-fondateur du MVM

• #6

  ledantec(dimanche, 02 septembre 2012 10:18)

  Pour ma part, cette objet mystere à eu dans sa vie au moins deux vie, un pied de lit ou un element d'une armoire, ensuite unGORET de menuisier amateur a pris l'objet pour réaliser les deux trous semi rectngulaire au extremité ainsi que les deux autres perçage semi tubulaire.
  Bonne chasse a tous

• #7

  David P.(dimanche, 27 janvier 2013 12:06)

  Mes collègues archéologues navales n'ont pu formuler d'hypothèses. Toutefois, ce qui revient régulièrement dans leurs propos, c'est qu'il s'agit peut-être d'un élément d'aménagement intérieur, peu vraisemblablement un morceau de l'architecture proprement dite.
  David. P - professeur d'Histoire Moderne et spécialiste maritime

• (2014)                                                                         #8
  

  Cet objet aurait pu servir dans le cadre du parage des boeufs par un maréchal ferrant afin de maintenir l'animal dans une position confortable lors de sa contention.